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Etudes médicales soutenant le lien

entre soutien-gorge et cancer du sein.


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        Des études médicales confirmant le lien cancer / soutien gorge existent maintenant mais ne sont malheureusement pas divulguées. C'est le but de ce site...

        Certaines études expriment également le simple blocage de la lymphe en tant que précurseur du cancer.


        Le 2 mai 2016 une étude médicale est publiée dans Advances in Oncology Research and Treatments par le comité de recherche éthique médicale de l’Université de Brasilia.

        Cette étude est la première à enquêter sur l’élasticité du soutien gorge (compression) et le nombre d’heures porté par jour.

        Cette étude a démontré une relation entre la constriction du soutien gorge associé au nombre d’heures porté et le risque de cancer du sein.

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        En Février 2015, une étude médicale est publiée par une équipe spécialiste du cancer à l'hôpital de Nairobi Kenyatta National Hospital.

        Cette étude affirme:  " Les modèles de soutien-gorge portés étaient significativement corrélés avec la survenue du cancer".

        Dans cette étude 24,8% des femmes ne portaient jamais de soutien gorge (groupe témoin) ce qui a permis de faire une corrélation significative.

        Certains facteurs de risque du cancer du sein sont connus et pouvaient être des facteurs de confusion. Des modèles statistiques multi variées ont donc été utilisés pour discriminer ces facteurs de confusion, et établis sûrs à 95%.

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        De Mars à Juin 2010, une étude médicale est réalisée par le Département de Santé Publique de l’hôpital universitaire de Carabobo au Vénézuéla.

        Cette étude publiée le 14 Octobre 2011 et encadrée par un spécialiste en gynécologie obstétrique conclu à des lésions et pathologies mammaires générées  par la durée d’utilisation du soutien gorge ainsi que les tailles et formes particulières non adaptées aux seins empêchant ou ralentissant toute circulation des fluides corporels…

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        En 1991, des chercheurs de l'Université de Harvard publient dans une revue médicale un article sur le risque de cancer du sein relatif avec la taille du bonnet du soutien gorge.

        Ils mentionnent dans cette étude que "les femmes préménopausées qui ne portent pas de soutien-gorge ont un risque moitié moindre de cancer du sein que les utilisatrices de soutien-gorge".

        Mais n'étant pas le but de leur étude, cette mention n’est pour eux qu’une question secondaire et ce constat reste sans explication: ils supposent que c’est « probablement » parce qu’elles sont plus minces et que leurs seins « doivent être » plus petits… (Une méta-analyse a confirmé en 2012 que cette supposition n'était pas fondée: "l'indice de masse corporelle n'a pas d'effet significatif sur l'incidence du cancer du sein" Voir cette étude plus bas)

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        En Juillet 2009, une étude de l’université de médecine de la province du Zhéjiang en Chine, a étudié les facteurs de risques du cancer du sein chez la femme et a montré que le soutien gorge pour dormir augmente l’incidence du cancer du sein.

        Or, on sait que la lymphe ralentit davantage lorsque le corps est au repos (Voir le chapitre "immobilisation permanente" sur ce site).

        Outre le fait que le soutien gorge soit également un grand criminel de l’hyperplasie mammaire, les experts en cancérologie de l’hôpital moderne de Guangzhou rappellent au sujet du soutien gorge que la santé est primordiale sur l’apparence.

        Lien ici


        Ce lien cancer / soutien-gorge avait été avancé dans les années 90 par deux antropologues médicaux, Sydney Ross Singer et Soma Grismaijer dans leur étude "Dressed to Kill" (habillée pour tuer).

        Page spéciale sur cette étude ici

        Cette étude avait été controversée car l'approche de ce problème était sous un angle nouveau: l'antropologie médicale appliquée. Les explications données simplement par notre mode de vie et les bases du fonctionnement du corps humain se heurtent aux chercheurs empêtrés au niveau cellulaire qui ne considèrent plus l'être humain dans son ensemble... Certes tous les paramètres n'avaient pas été observés (taille, poids, etc...), mais les résultats trouvés sur une étude de 4700 femmes, étaient si évidents qu'il semble difficile de les remettre en question !

Aujourd'hui ces résultats sont confirmés par les études citées ci-dessus.

        Une interview de Sydney Ross Singer ici

        La seconde édition de ce livre, enrichi des dernières études médicales ici:

Dressed to Kill Second Edition


        Une étude clinique parue dans le journal du Lymphodème en 2010, "Anatomie et physiologie en relation avec la compression du membre supérieur et du thorax" explique les effets de la compression sur l'écoulement lymphatique et le drainage.  Cet article précise " que la recherche future devrait se concentrer sur les moyens de surveiller la pression délivrée par un vêtement, et ses effets sur les fluides ". En effet il est souligné qu'il existe "un anneau probable de pression souvent inappropriée sur l'épaule et la poitrine latérale fournie par le soutien-gorge du porteur (dans le cas d'une femme), et signifie qu'il y a souvent des problèmes d'accumulation de liquide (au début) et de fibres (plus tard) dans cette zone". "...Nécessité de prêter attention à l'effet potentiel des vêtements (en particulier les soutien-gorges) sur le drainage lymphatique..."

        Cet article ici                          La traduction de cet article ici (mise en page détériorée)


        Une étude de mai 2006 a testé les différences d'absorption mammaire par le FDG pouvant déterminer (entre autres) s’il existait une différence entre les utilisatrices de soutien-gorges et les autres. La tomographie par émissions de positrons au 18F-fluorodésoxyglucose (18F-FDG) permet de localiser des foyers pathologiques exprimant un métabolisme élevé. Cet examen est de plus en plus utilisé comme un nouvel outil dans l’investigation de syndromes inflammatoires.

        Les utilisatrices de soutien-gorges ont présenté une augmentation de l'absorption statistiquement significative par rapport à celles qui n'en portaient pas, indépendamment du type de soutien-gorge.

        Cette étude précise que d'autres études sont nécessaires pour étudier la relation entre la compression du sein résultant de l'utilisation d'un soutien-gorge et le développement d'un cancer du sein.

        Lien ici

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